Les Givrés au journal de 13H sur TF1 ! 19/07/2013

Aprés la Voix du Nord,

France Bleu,

France 3,

les Givrés ajoutent TF1 à son palmarès !

 

 

Voici les 1er images des Givrés devant la caméra de TF1 !!

 

 

C'est une véritable fierté que de passer au journal télévisé  le plus regardé en France !

 

 

Après avoir été reconnu au niveau local puis régional, Les Givrés  sont désormais reconnus sur le plan national !! Pour son originalité et sa qualité !!

 

Une véritable consécration !!!!

 

 

Nous vous tiendrons au courant quant à la diffusion du reportage

(soit lundi midi, soit mardi midi)

 

Nous mettrons aussi le replay sur le site.

 

Bravo encore à toute l'équipe des Givrés !!!!!

 

 

 

 

Les Givrés Passent sur France Bleu !!!! le 19/06/2013

     

PETERS Christophe (Les Givrés Du Cornet)

est passé en direct sur la MARMITE de France Bleu Nord

de 10H à 10H30

avec la Célébre Animatrice

Pépée

 

le 19/06/2013

"Les givrés du cornet" à St-Omer (France 3)

Retrouvez Christophe PETERS et Simon FOURNIER sur le 19/20h de france 3 !!!!

 

A partir de la 3m30

 

On ne se lasse pas de leurs exploits !

"Les givrés du cornet" à St-Omer (Franck Antson/RTL)

 

 

Dans sa tradition de service, RTL organise régulièrement des journées spéciales pour venir en aide à ses auditeurs. En ce mois de septembre, place aux créateurs d'entreprise. Qui n'a jamais rêvé d'être son propre patron ? A cette occasion, la station de la rue Bayard a proposé, lundi 24 septembre, une journée spéciale pour répondre à toutes vos questions.

 

Christophe et Simon au micro de RTL

 

Les grosses journées des Givrés du cornet : Simon et Christophe Publié le 09/08/2012 Par La Voix du Nord

Comment fonctionnent-elles, pendant la saison estivale, les entreprises locales ? Nous y traînons nos guêtres tout l'été pour vous proposer une série débutée le 14 juillet avec la Brasserie, à Saint-Omer. Pause gourmande chez Les Givrés du Cornet, rue des Clouteries. Avec Simon et Christophe qui vivent leur premier été de glaciers... à leur compte

 

 

PAR ANNE-SOPHIE PUJOL

saintomer@lavoixdunord.fr

Les Givrés du Cornet. « C'est ma maman, qui a trouvé ça ! Parce qu'elle dit qu'il faut être un peu givré, pour vendre des glaces dans le Nord - Pas-de-Calais ! » Là, c'est Christophe Peters, qui explique. Avec Simon Fournier, son copain du CFA d'Arras, ils ont ouvert, le 28 avril, leur petite entreprise, à Saint-Omer. Au début de la rue des Clouteries, les glaces artisanales, c'est eux. Trois ans de formation - notamment un CAP glacier ainsi qu'un brevet technique du métier, qu'ils ont en commun - et ce projet, dans la tête de Christophe : devenir glacier, à son compte.

« Si vous savez ouvrir une brique de lait UHT et un paquet de poudre, vous pouvez vous présenter comme artisan glacier », regrette-t-il. Alors le duo a décidé d'aller un peu plus loin. Leur lait, il vient de la ferme, à Tatinghem. Production locale donc. Et les fruits : «  En face !, lâche Simon. Produits frais et proximité. » Plus loin aussi dans les produits qu'ils proposent à la vente. Cent vingt parfums, sucré ou salé, « des gâteaux pour se diversifier  ». Et une fierté : « Voir les grands yeux des enfants qui choisissent un parfum et repartent avec leur cornet ». Leurs favoris, aux enfants : Kinder, Nutella, Fraise Tagada, Carambar. « Alors que les personnes âgées ne tentent pas trop de nouveautés, ça reste dans les classiques : vanille, chocolat, café », explique Christophe. Son chouchou, à lui, c'est thé vert Marrakech. Un parfum qu'il avait présenté lors du concours « Un des meilleurs apprentis de France ». Pour la finale. C'était en 2009. Il était arrivé premier, et Simon quatrième. Ils sont aussi champions de sculpture sur glace. Donc forcément givrés, ces glaciers. Et leur pari, risqué. Ça, le duo le sait.

« On s'attendait moins, en revanche, à ce que nos vies personnelles soient autant délaissées... » Depuis l'ouverture, les journées sont de plus en plus longues. « C'est de 6 heures à 23 heures. Faut faire les comptes, après, à la fin de la journée !

 » Avec une faible recette, certains jours de mai ou juin, « quand il pleut à drache ! ». ou à l'inverse avoir peu voire pas de journée de repos. « Au début, on a essayé de retourner chez nos parents - je suis d'Armentières et Christophe de Lillers - un jour par semaine, pour souffler, se déconnecter. Mais en ce moment c'est impossible. » Se déconnecter parce que les deux glaciers vivent juste au-dessus de leur magasin : « On est ici H24. On pourrait même dormir dans le labo ! » Et impossible, parce qu'ils ont de plus en plus de commande. Communions, baptêmes, traiteur... Du coup, Christophe a embauché son frère, devenu livreur.

Avec sa camionnette, il part jusqu'à Calais et Dunkerque, pour fournir des restaurants. Ce qui devrait leur rapporter 5 000 euros par mois. «  Pour le moment, on tient le prévisionnel », précise Christophe. Lui craint l'hiver. « Je pense que ce sont les restaurateurs qui vont nous faire vivre. » Ils sont une quinzaine qui achète notamment des glaces salées : maroilles, asperge, basilic, chèvre, ou du fromage de Bergues, comme la Barganette, à Clairmarais.

Pour le moment, ils ne se versent pas de salaire. « L'été prochain, on espère. » Embaucher un vendeur, également. Car ils s'occupent aussi de la zone de vente. D'ici là, il y aura les fêtes de fin d'année, avec les bûches. Auxquelles Christophe pense déjà. « J'en rêve la nuit ! » Autre rêve : ouvrir un autre point de vente, dans le Nord - Pas-de-Calais et... à Barcelone.  • 

 

 

 

 

La bûche de Noël, une incontournable rafraîchie par les Givrés du cornet Publié le 21/12/2012 - Mis à jour le 21/12/2012 à 03:55 Par La Voix du Nord

Un menu de réveillon sans bûche, ce serait comme un père Noël sans quelques kilos en trop, forcément moins jovial. Le passionné Christophe Peters, glacier de la rue des Clouteries, nous glisse tout sur ses glaces, pour éviter de trébucher sur le dessert.

 

PAR DAVID MONNERY

saintomer@lavoixdunord.fr

Nous voici gentiment arrivés au dessert, le repas du réveillon glisse vers sa fin, mais il manque encore un petit quelque chose pour ne pas glacer l'ambiance. Alors quoi d'autre qu'une bûche fraîche comme une piste enneigée pour s'éclater dans une dernière descente de gorge ? Christophe Peters, glacier en chef des Givrés du cornet, à Saint-Omer, chausse les skis et empoigne les bâtonnets pour nous faire découvrir son terrain glaçant.

Il a concocté spécialement pour les fêtes une bûche crème glacée vanille, sorbet mangue-passion et biscuit Dacquois coco, qui reflète l'esprit de sa boutique. Faut-il être givré pour oser préparer l'incontournable dessert de Noël à la couleur des verts pâturages de printemps ? Forcément, mais Christophe Peters assume pleinement son flocon de folie créative. Car c'est un vent de fraîcheur sur l'univers des desserts que le glacier veut souffler.

« Un bon dessert, c'est quelque chose qui, dès le premier regard doit donner envie d'être croqué. » Et, chez lui, le beau n'est pas l'ennemi du bon puisqu'il n'utilise que des produits locaux, à commencer par le bon lait de Tatinghem en matière première ou les fruits du primeur d'en face. Après deux jours de préparation, dont une bonne nuit de maturation pour libérer les arômes du lait, la glace ne demande qu'à être rompue pour fondre sous la langue.

Et si l'audace colorée de cette bûche « Givrée du cornet » vous laisse de glace, sachez qu'il en existe une bonne douzaine d'autres - comme la «  Papa-tissière » (chocolat blanc, pain d'épices), la « Ch'tite bûche » (spéculoos, chicorée) ou la « Douceur hivernale » (chocolat, caramel, mangue) qui feront grossir les appétits les plus délicats comme une boule de neige. Tout ceci n'étant que la face émergée de l'iceberg, puisqu'il est même possible de demander au chef de réaliser son propre dessert glacé avec ses parfums préférés. Ce serait les boules de s'en priver. •

 

 

 

lachtitecrevette.canalblog.com

dimanche 4 novembre 2012

 

"Les givrés du cornet" Fabricant de glaces artisanales à Saint Omer (62500)

Qu'est ce que c'est ? Il s'agit d'un nouveau concept de boutique de vente de glaces artisanales à emporter, située à ST-OMER que j'ai découvert par hasard au cours d'un weekend en amoureux. Christophe et Simon, deux artisans associés, y proposent des produits 100% naturels : ils achétent leur lait cru à une ferme du village voisin, en fruits frais chez le marchand de fruits et légumes situé juste en face de leur point de vente et préparent l'ensemble de leurs produits dans leur arrière boutique.

Mon avis : Un petit coin de paradis naturel et savoureux en plein centre ville !!! N'hésitez pas y entrer car même si l'ambiance est plutôt froide (mode de conservation des glaces obliges), les saveurs sont inédites et vous ne serais pas déçus !!! En plus, comme l'artisan a la possibilité d'innover à la demande de ses clients, il pourra vous préparer une glace (ou un sorbet) à la saveur de votre choix, comme par exemple, une glace au foie gras pour les fêtes de fin d'année !!! Alors, un seul conseil, ne résistez pas à la tentation et succombez à vos envies les plus folles !!!


Informations : point de vente au 4 rue des Clouteries 62500 St Omer (à proximité de la place) / tél : 03 21 11 92 98

https://www.facebook.com/LesGivresDuCornet

 

 

 

 


Saint-Omer : la Ruche qui dit oui recherche ses abeilles pour décoller Publié le 06/05/2013

Par JENNIFER-LAURE DJIAN

Ils plaident pour la notion de cuisine artisanale, depuis qu’ils ont repris L’Entrecôte, rue Dupuis, il y a neuf ans. Fabienne Bogé, au service, son mari, aux fourneaux. Dans la suite logique de leur défense des produits locaux, elle lance La Ruche qui dit oui. Un réseau, qui existe au niveau national, et rapproche producteurs et consommateurs, pour acheter mieux.

 


Fabienne Bogé, militante des produits locaux, lance La Ruche qui dit oui, un réseau de producteurs et de consommateurs, à Saint-Omer.

Ils ont été élevés « par les produits du jardin», sourit Fabienne Bogé. Quand ils ont repris L’Entrecôte, son mari et elle, il y a neuf ans, « on s’est attaché à cuisiner du frais. À mettre les produits de notre territoire dans l’assiette de nos clients». Quand elle a eu vent, avec l’un de ses fournisseurs de viande rouge, Pierre Boucher, d’Audincthun, du réseau La Ruche qui dit oui, elle y a vu « une continuité de notre activité, indique Fabienne Bogé. L’occasion de valoriser autrement le territoire, d’aider les producteurs à aller vers les consommateurs». Et les consommateurs à se rapprocher des producteurs. « Nous, on achète du cidre de Brunembert, bio, qu’on adore. Mais c’est compliqué d’aller le chercher. Le tout, c’était de trouver le système adéquat pour mettre dans la lumière des produits qui restent confidentiels. »

Un seul intermédiaire,

la Ruche

La solution, c’était La Ruche qui dit oui. Un réseau qui fleurit un peu partout – il en existe 228 en France, 179 en construction dont trois dans l’Audomarois, à Saint-Omer, Wittes et Delettes. « Cela réduit le nombre d’intermédiaires, il n’y en a qu’un, la Ruche. Elle organise tout ce qui est mercantile, le paiement en ligne. Moi, je n’interviens pas dans cette partie, c’est plus facile. » Fabienne Bogé choisit en revanche les producteurs, qui s’inscrivent sur le site Internet de la Ruche. « Il y en avait sept ou huit qui étaient déjà inscrits. Et puis il y a ceux que je rencontre, pour leur proposer de nous rejoindre. On n’est pas limité pour le nombre. On veut juste appuyer le facteur très local, à pas plus de cinquante kilomètres. »

Le cidre de Brunembert, le café Boulet, les Givrés du cornet, qui créent des glaces artisanales à Saint-Omer, la ferme d’Elodie, à Helfaut, « elle a des variétés de légumes extra», assure-t-elle, Fabienne Bogé cherche et rencontre, depuis quatre mois, tous ceux qui produisent localement. « J’aimerais aussi trouver quelqu’un qui fait du miel, un crémier… L’idée, c’est de pouvoir faire toutes ses courses au niveau local. »

Pour l’instant, la Ruche audomaroise est en sommeil, il faut trente adhérents, qu’on appelle des abeilles, pour qu’elle s’éveille. L’inscription est gratuite, pour les fournisseurs comme les adhérents. « C’est une communauté», résume Fabienne Bogé. À Saint-Omer, ils sont une quinzaine à l’avoir ralliée. « Je prospecte, indique Fabienne Bogé. C’est compliqué, les gens ne connaissent pas le principe. Mais c’est sans engagement, ils n’achètent que s’ils le souhaitent. » À un bon prix, « comme le volume est plus important, c’est plus intéressant». S’il ne vend pas, le fournisseur ne perd rien, et « ce qu’il ramène est prépayé».

Fabienne Bogé projette de programmer une livraison de paniers tous les quinze jours, le mercredi, de 17 h à 20 h, au restaurant L’Entrecôte. L’occasion de venir rencontrer les producteurs, dès que ce sera mis en place.

Informations sur www.laruchequiditoui.fr/2854 ou par mail : fabienneboge@gmx.com. Distribution des paniers le mercredi de 17 h à 20 h, au restaurant L’Entrecôte, rue Henry-Dupuis à Saint-Omer.

 

Fraîcheur et fait maison

Une nouvelle enseigne vient d’ouvrir sur la Grand-place de Cassel. L’Addict est un salon de thé qui propose aussi de la restauration, où les clients peuvent choisir de déguster les gâteaux faits maison dans une des cinq ambiances parfaitement mises en scène par la maîtresse des lieux, Magali Vandewalle. Une vraie reconversion pour cette mère de famille qui travaillait dans le secteur médico-social.

D’abord éducatrice spécialisée puis mandataire judiciaire, Magali Vandewalle vient d’ouvrir un salon de thé à Cassel

 

De l’extérieur , ce sont d’abord les narines qui succombent à l’alléchante odeur de chocolat. Dès la porte franchie, les yeux ne savent pas où se poser, eux qui devront pourtant choisir entre les petits délices sucrés ou salés confectionnés par Magali Vandewalle pour ravir les papilles. Comme elle le souhaitait, dans ce tout nouveau salon de thé, le beau et le bon se mélangent, « le but, c’est de déguster des choses simples et bonnes, dans une ambiance reposante. Les premiers clients me disent qu’ils se sont sentis comme à la maison». Belle reconnaissance pour cette mère de trois enfants, qui pense à ce projet depuis une dizaine d’années, « ça ne m’est pas venu par hasard un matin». Pourtant, rien ne prédestinait cette éducatrice spécialisée de formation qui a travaillé de nombreuses années auprès de personnes déficientes mentales, avant de devenir mandataire judiciaire à la protection des majeurs, à ouvrir ce salon de thé à Cassel. Rien, sauf que cette « folle de déco» est aussi une « passionnée de cuisine depuis toute petite».

Dans ce qui était une galerie de brocanteurs, à côté du musée de Flandre, tout a été refait. Les cellules des magasins ont été transformées en cinq niches, avec chacune son ambiance. Industriel, city chic, salle à manger de campagne, grand salon ou encore boudoir, le moindre objet de déco produit son effet. Jusqu’à tromper les premiers curieux qui ont poussé la porte de L’Addict, « les gens pensaient que je vendais des meubles. Encore aujourd’hui, j’ai des clients qui voudraient acheter la vaisselle après avoir mangé». Revers de la médaille, Magali Vandewalle passe beaucoup de temps à « faire visiter» les lieux. « J’ai conscience que c’est original, que ça sort de l’ordinaire, mais en étant dedans on est moins objectif.» Si beaucoup d’établissements casselois attirent les touristes en vantant leur vue panoramique sur la Flandre, L’Addict « joue sur la décoration intérieure et l’ambiance».

Fraîcheur et fait maison

Souci de la mise en scène que les clients retrouvent dans la présentation des gâteaux, cupcakes, moelleux au chocolat, cheesecakes, que Magali Vandewalle prépare sur place. « La vaisselle aussi c’est important, même les sets de table. Jusqu’au bout tout est bien, m’a dit une dame. Ça m’a fait plaisir.» À l’heure du déjeuner, et pour le brunch dominical sur réservation, elle propose aussi des œufs cocottes à composer avec des ingrédients au choix, et des planches de fromages et de charcuteries, « de la ferme des Récollets et ensuite de celle de Bissezeele». Locales aussi, et artisanales, les glaces fournies par Les Givrés du cornet à Saint-Omer, « l’été prochain on doit créer une glace ensemble». L’hiver, place aux fondues au chocolat, et toute l’année, aux crêpes, « les enfants en réclament souvent». Depuis qu’elle réfléchit à son projet, Magali Vandewalle s’est forgée une idée précise de ce que doit être un salon de thé, « avec des thés d’une maison parisienne, et des cafés de qualité, pour que les gens aient le choix».

Pour lancer L’Addict, Magali Vandewalle a suivi des formations, certaines privées, d’autres au CEFRAL (centre de formation) de Dunkerque, en pâtisserie notamment. Elle bénéficie également d’un accompagnement de Flandre création, « j’ai suivi une formation, pour voir si j’étais faite pour ça, pour conforter mon idée. Ça m’a mise en éveil sur les difficultés de créer son entreprise». Pour garantir la fraîcheur des produits, Magali Vandewalle réalise les gâteaux le matin et elle avoue qu’elle doit encore « trouver (ses) marques pour la gestion des stocks». Surtout que la haute saison et sa cohorte de touristes va bientôt démarrer. Pas forcément facile à gérer, quand on est attachée, comme elle, au fait maison de qualité. Un argument que les clients devraient comprendre. Des Casselois le partagent déjà, venus pour essayer et qui sont revenus, séduits par les lieux.

« J’espère que les clients vont devenir accros au thé, aux petits gâteaux, à l’établissement, sourit Magali Vandewalle, quand on lui demande d’où vient le nom du salon de thé, L’Addict. C’est un petit clin d’œil à mon ancien métier où je côtoyais l’addiction, mais dans un domaine beaucoup moins positif.»

L’Addict, 32, Grand-place à Cassel, 06 52 22 11 18. Ouvert du mercredi au dimanche, de 10 h 30 à 19 h.

 

Comment nous trouver

LES GIVRES DU CORNET (artisan glacier)

4 rue des clouteries

62500 Saint Omer


Téléphone : 03 21 11 92 98

 

Consultez le plan d'accès.

Horaires du 01 Decembre  au 31 Decembre 2023

 

DIMANCHE

10H

19H

LUNDI

10H

19H
MARDI

10H

19H
MERCREDI

10H

19H
JEUDI

10H

19H
VENDREDI 10H 19H
SAMEDI 10H

19H

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